C’était un fabuleux navire il avait nom «kaléidoscope».
Par les fleuves et les océans, tel un harfang des neiges en poudrerie,
Ou bien canot de chasse-galerie il traversait la mousse des sables,
Ainsi que le chante le griot aux sentiers des savanes.
Point besoin de phare pour le guider par nuit d‘encre.
Il badinait par temps d’orage avec le vent et les nuages.
Vaisseau fantôme ou bateau ivre ?
Il plane sur ma poésie libre, fantaisie de Francophonie.